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Critiques positives
 

LCI

Jérôme Vermelin 

Le résultat est à la hauteur des attentes, malin et sans temps mort, avec un Alden Ehrenreich largement à hauteur de son modèle Harrison Ford.

 

Le Figaro

La Rédaction

Le prometteur Alden Ehrenreich reprend le rôle d'Harrison Ford (et ses mimiques) avec une grande facilité.

 

Le Parisien

La Rédaction

Si le film a moins d’ampleur que le premier film dérivé de la saga, « Rogue One », il compense par un traitement « à l’ancienne » qui devrait combler les accros de Star Wars.

 

Ouest France

Gilles Kerdreux

Très distrayant.

 

Positif

Fabien Baumann

La réussite du projet tient d'abord à cet enjeu intime et lointain (comment devient-on un fieffé séducteur de princesse galactique ?) ainsi qu'à la salutaire faculté des seconds rôles à mourir pour de vrai sans déclencher de vaste tralala sur l'échiquier des guerres stellaires.

Critiques mitigées
 

Cinema Teaser

Aurélien Allin

Solo semble faire trop d’effort pour plaire à la jeune génération et, dans sa tentative de spectacle total, en oublie un peu l’ADN de Star Wars.

 

Direct Matin

La rédaction

"Solo : A Star Wars Story" se regarde comme un bon divertissement… la magie et l’emphase en moins, comparé aux précédents volets.

 

GQ

Alexandre Lazerges

Avec "Solo", Ron Howard fait donc le job et sauve les meubles avec quelques petites trouvailles, mais il aurait pu faire plus court.

 

IGN France

Sylvain Trinel

Solo fait le job mais surprend par l'inconséquence de son aventure qui aurait peut-être mieux fait de se retrouver en comics plutôt qu'en salle.

 

Le Journal du Dimanche

Stéphanie Belpêche

Le scénario prend des libertés avec la chronologie de la saga, ce qui agacera les puristes, et manque d’enjeu dramatique puisque la mission consiste à trouver du carburant ! Mais Alden Ehrenreich est convaincant dans ce dérivé qui privilégie clairement l’action et renouvelle la mythologie.

 

Le Journal du Geek

Gaël Weiss

Solo : A Star Wars Story n’est pas un mauvais film. C’est un honnête divertissement qui remplit consciencieusement son cahier des charges, mais sans vraiment chercher à aller plus loin.

 

L'Express

Eric Libiot

Le film est si moyen qu'il ne fera pas de mal à une mouche au moment de passer à la caisse.

 

Paris Match

Yannick Vely

Sans posséder la magie des meilleurs épisodes de la saga intergalactique, "Solo: A Star Wars Story" de Ron Howard est un western galactique fun et hautement divertissement.

 

Télé 7 Jours

Julien Barcilon

C'est divertissant, parfois maladroit, mais, in fine, rafraîchissant pour ceux qui sont un peu las des sempiternels discours sur la Force.

 

Télérama

Cécile Mury

Certains moments sont très décevants. (...) D’autres scènes débordent au contraire d’inventions visuelles et narratives.

Critiques négatives
 

aVoir-aLire.com

Julien Dugois

Ceux qui ne connaissent pas Star Wars, s’il en reste, pourront toujours y trouver un blockbuster divertissant à défaut d’être novateur, mais tous ceux qui sont un tant soit peu attachés au mythe installé par George Lucas ne pourront que sortir de là lessivés par tant de vacuité.

 

Bande à part

François-Xavier Taboni

Si, après une exposition laborieuse, "Solo" se laisse voir sans déplaisir, se payant même le luxe d’un dernier acte plutôt réussi, il est très difficile de trouver des traces de singularité dans ce projet.

 

Ecran Large

Simon Riaux

En essayant de contrôler deux auteurs brillants perçus comme trop indépendants Disney a décapité un projet prometteur et offert aux fans un des pires Star Wars jamais vus.

 

La Croix

Stéphane Dreyfus

Manquant cruellement de traits d’humour ou de saillies ironiques, les deux armes que Han Solo dégainait plus vite que son ombre, le film de Ron Howard, honnête artisan hollywoodien appelé à la rescousse après le renvoi des réalisateurs initiaux, se regarde sans déplaisir. Mais sans passion.

 

Le Dauphiné Libéré

Jean Serroy

Du grand spectacle un peu lassant.

 

Le Monde

Jacques Mandelbaum

Tout le monde semble ailleurs, à commencer par Alden Ehrenreich, qui fait un Solo désespérément insipide.

 

Le Nouvel Observateur

Nicolas Schaller

Ni fun ni emballant, le film est noyé sous une musique assourdissante. Il manque d'enjeux dramatiques et surfe sans inspiration sur le contexte géopolitique (héros exilés, régions pauvres exploitées pour leurs ressources naturelles par des corporations avides de profit).

 

Les Fiches du Cinéma

La rédaction

Loin d’être le naufrage annoncé, une œuvre d’une grande paresse visuelle et d’écriture, sans oublier des personnages inconsistants. On est loin de la surprise qu’était "Rogue One".

 

Les Inrockuptibles

Théo Ribeton

La genèse pirate de Solo n’a-t-elle pas sa place dans un flou imaginé, plutôt que dans cette matérialité ingrate ? La question est ingrate, mais qu’il le veuille ou non, Ron Howard vient d’y répondre..

 

Première

Sylvestre Picard

"Réalisé par Ron Howard". Ce nom au générique suffira à faire rager ceux qui voulaient que Solo soit shooté par les deux réals hype de 21 Jump Street et La Grande Aventure Lego, Phil Lord et Chris Miller, virés en plein tournage pour avoir oublié qu'ils ne faisaient pas un film à eux, à la déconne, mais qu'ils étaient employés de Lucasfilm pour faire un boulot. Le vétéran Howard, lui, est là pour faire le job.

 

Sud Ouest

Sophie Avon

Un nouveau volet qui manque de souffle.

 

Le Point

Philippe Guedj

Ce récit des origines du contrebandier est d'un ennui intersidéral. En cause ? Son héros falot et un scénario sans identité ni panache.

 

Libération

Didier Péron

"Solo" n’est qu’un western-SF dévitalisé qui ne sert à rien sinon à dénuder si nécessaire le genre de ­cynisme mercantile de ceux qui en commanditent l’existence exténuée, d’autant plus absurde qu’on est censé assister à l’aube frémissante d’une mythologie et non au remix gâteux d’un vieux tube seventies.

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