"Blue Shadow Virus" : Bon! On va être rapide : il n'y a que 2 choses, 2 seuls points qui sauvent ce téméraire diptyque nous démontrant que les Armes de Destructions Massives, les bactéries, bref que la science c'est maaaaaal!
Le premier point positif (l'autre j'en parlerai dans le prochain épisode):
(+)Hé! Bien étonnement, c'est le méchant qui représente le seul attrait de cet épisode...rien que pour ce qu'il semble incarner ; je lui met 2 étoiles, parce que le reste...la figure typique (et carricaturale) du savant fou, donc du méchant scientifique, sauf que ce n'est pas son côté scientifique qui m'a accroché mais plus son côté écolo...ou le sens inhumain présent chez certains écologistes (peu nombreux mais potentiellement dangereux) ; je m'explique : alors que nous avons certains cérébraux qui pensent (pour x raisons) que les animaux valent mieux que les humains, ou d'autres encore qui estiment que les végétaux sont une forme de vie plus noble et meilleurs que les formes de vie animales...je crois bien c'est la première fois dans une fiction qu'un personnage passe une borne de plus dans l'extremisme en prétextant que c'est la vie bactériologique qui transcende toute autre forme de vie ; que les microbes valent mieux que les humains et ça...franchement! C'est un méchant, certes un peu fou (mais ça serait une explication trop simpliste), dont les motifs le poussant à recréer un virus ayant existé par le passé (le blue shadow, joli nom) sont un peu très intéressants.
Rien que pour ça il mérite qu'on lui mette 2 étoiles en temps que méchant qui fait réfléchir sur jusqu'où peut mener la haine de soit (y compris de la haine envers sa propre race).
Ha! Et puis rapidement pour résumer le reste l'épisode :
(-) Jar Jar (quoique la scène dans le garage soit à peu près potable)! Les Naboo sont passables...Ha si! On a une Jar Jarette ; on ose pas trop imaginer ce qui se passerait si Jar Jar et Jar Jarette font des petits.
(-) Le combat dans le sous-terrain est moyen, seul point positif, les clones font preuve de patience pour tout désamorçer sans paniquer
Bref, un épisode nul à en pleurer ; sauf pour ce qui est des motfis du méchant.