Voici donc Ardis San Tekka et B8-T5, surnommé Bait, qui nous présentent ce qu’on peut rencontrer comme bestioles dans la galaxie.
Ce guide a été écrit peu de temps après la défaite de Palpatine sur Exegol.
Ardis a donc parcouru la galaxie en long, en large et en travers pour nous ramener tout un tas de descriptions.
En fonction de l’importance et du temps présent dans les divers médias (films, téléfilms, séries live et séries animées), on peut avoir plusieurs pages se focalisant sur une seule espèce comme les banthas ou les porgs.
Sinon, tout est sur une seule page, voire moins, avec une seule illustration.
En parlant des illustrations, comme il s’agit d’une documentation naturaliste, les dessins sont en crayonné, en noir & blanc ou en couleur.
Il faut avouer que l’illustrateur Iris Compiet a fait du très bon travail.
C’est détaillé, propre, c’est beau quoi.
Les créatures sont classées selon le type d’environnement où on les trouve comme le milieu marin, la jungle, la prairie, milieu urbain, et ainsi de suite. Puis les animaux y sont rangés selon l’ordre alphabétique, enfin pas tout le temps. Par exemple, pour une raison inconnue, dans le désert, les ‘M’ sont placés entre les ‘G’ et ‘H’. Bizarre comme erreur.
Comme les dessins prennent beaucoup de place, les descriptions sont plutôt succinctes. On nous dit juste ce qu’il faut sur leur mode de vie et si c’est des gentils ou des agressifs ^^.
De temps en temps Bait apport une anecdote sur l’animal.
Alors oui, on nous présente quasi toute la faune de la galaxie Star Wars vue dans un média ou un autre, et parfois même plus loin avec les Howlers de Peridea, ou parfois même légendaire avec les Loth-Wolwes de Lothal.
Gorax est également dans la place ^^.
On tombe aussi sur un clin d’œil sympa avec la page sur le Convor avec un « It’s a brilliant example of nature’s interconnectivity and proof that size truly matters not ». Big up Yoda ^^.
On apprend aussi que l’étude des Purrgils, surtout leur processus biologique pour passer en hyperespace, a permis de créer les wayfinders.
Le livre est chouette, avec une couverture en carton et légèrement en surimpression et les pages font comme un parchemin.
Par comparaison avec le The Wildlife of Star Wars sorti en 2001, ouais ça date grave ^^ (Le bestiaire – 2015 VF), il contient évidemment bien plus de créatures mais le livre est plus petit en dimension (oui, oui je sais, prix du papier toussa …), la police de caractère fait moins « immersif » selon moi, et on n’a pas vraiment d’illustrations d’animaux dans leur environnement comme on avait dans le wildlife.
Et certaines espèces ‘inventées’ ont disparu, ce qui est compréhensible vu que maintenant, on a suffisamment de matière.