Bien aimé l'ambiance de cet épisode, en particulier le camp de travail bien dystopique comme on aime (enfin c'est pas vraiment une dystopie dans l'univers, mais vous m'avez compris). On a vraiment des humains (et d'autres certainement), réduits à l'état de robots, conditionnés pour produire toujours plus. Les décors et costumes font pas forcément hyper star wars mais reprennent des codes de sf terrestre qui marchent bien ici. Intéressant parallèle aussi avec les employés de l’administration, qui finalement sont tout aussi formatés.
En tout cas, le système de la prison est aussi bien pensé. Monter les équipes les unes contre les autres augment la productivité tout en limitant les possibilités de "grève"

Et Serkis est toujours excellent, même si son rôle est anecdotique. Ceci dit, ces passages sont looongs. J'ai rien contre avoir un rythme plus posé, mais là j'allais finir par m’endormir. Et puis vu que ça fonctionne par arcs, on la verra encore beaucoup cette prison et sn ambiance, pas besoin de déjà trop étirer ici.
Du côté des autres protagonistes, c'est cool aussi, et pour le coup pas uniquement intéressant pour l'ambiance. Vers les deux leaders, œuvrer chacun de leur côté et à leur niveau On a de la politique, avec des débats certes simples, mais qu'on pourra avoir aussi en vrai. Sur la personnalité du dirigeant ou sur le fond de ses propositions, sur l'ordre vs la liberté etc..
Et du côté des clans rebelles, ça se tire la bourre mais ça reste quand même très prudent en termes d'informations (même si je pense que Saw a très bien compris). On voit aussi que le matériel n'est pas le même (mais joli X-WIng).
DU coté du BSI, en revanche, j'ai trouvé bof. C'est de l'intrigue classique de la jeune enquêtrice qui met le doigt sur ce que personne n'a vu, mais peine à convaincre. Pas très original, et on fait pas avancer le Schmillblick, vu que Syril n'a que de la bonne volonté mais zéro info utile