Amis bibliophiles bonjour.
Aujourd'hui nous parlerons de The Nameless Terror, la dernière mini série de la Phase II de la Haute République que je n'avais pas encore critiqué ! (Si vous êtes perdu dans cette phase cette actu est faite pour vous)
Un petit rappel de quoi qu'on cause et j'enchaine :
Synopsis :
Même dans la lumière étincelante de la Haute République, des ombres se cachent dans la galaxie.
Des Jedi en mission sur la planète Dalna sont subitement attaqués par des assaillants inconnus. Alors que les chevaliers battent en retraite dans un ancien édifice, il devient rapidement évident qu'ils sont loin d'être en sécurité.
Quelque chose de maléfique surveille les ruines, un prédateur impitoyable, une terreur inconnue, une peur sans nom !
La critique sans spoiler de Lain-Anksoo
Mini-série qui nous montre l’épreuve de survie d’un groupe de jedi après un crash, face aux implacables nameless (ou levelers). The Nameless Terror souffre d’un problème récurent dans la Phase II de la Haute République : pour apprécier pleinement cette histoire il vaut mieux être à jour sur les romans jeune adulte. Heureusement, pour une fois, la lecture de ces dits romans n’est pas nécessaire à la compréhension de l’histoire.
Cette mini-série fonctionne très bien toute seule et raconte une histoire somme toute un peu simple aux rebondissements attendus, mais efficace. C’est une excellente petite lecture entre deux romans.
Le véritable intérêt finalement réside dans le complément qu’offre ce comics. En effet dans Path of Vengeance un transport disparait et cette BD nous dévoile son destin (à l’image de Crosscurrent en Legends et le fameux vaisseau Sith disparu dont on apprenait l’histoire dans les nouvelles de la tribu perdue des Sith).
Que vous ayez lu ou non les romans jeune adulte (et dans la phase II ça serait une bêtise de ne pas les lire) cette série possède des avantages, cependant s’il fallait citer un défaut : on assiste à une surexploitation des nameless dans la phase II qui rend leur re-découverte dans la Phase I de plus en plus bancale.
Pour terminer côté dessins, je suis un fervent adorateur des contrastes entre proposition graphique et scénario, offrir des dessins tout mignons avec un sujet macabre (lisez Stray Dogs chez Panini, vous allez me haïr de vous avoir fait lire une histoire aussi horrible) mais ici ça ne fonctionne pas. Le style cartoon de Edouardo Mello va au contraire minimiser l’horreur lié aux nameless, c’est dommage.
Note : 65%
VF prévue pour novembre chez Panini.
On a un sujet pour en discuter, moi je vais lire du batman (il n'y pas que Star Wars dans la vie).