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Secret Weapon
  • Genre Roman Junior
  • Série The Last of the Jedi (Vol. 7)
  • Univers Legends
  • Année et période -18 (Empire)
  • Auteur(s) Jude Watson
  • Couverture Drew Struzan
  • Synopsis :

    Sur la planète Belassa, des morceaux d'une nouvelle arme secrète sont construits par l'Empire. Dark Vador et le Grand Moff Tarkin sont présents pour s'assurer que le secret en reste un. Ils sont alors rejoints par l'ancien apprenti Jedi et leader Rebelle Ferus Olin.

    Mais Ferus Olin est-il réellement de leur côté ? Ou bien est-il un agent double essayant de sauver sa planète et de dérober les plans de l'Empire ? Ferus doit préserver le secret de sa propre allégeance... sous peine de devenir une autre victime consumée par le Côté Obscur.

  • Note du staff SWU
     (76 % - 1 commentaire)
  • Note des internautes
     (aucun commentaire disponible)
     (76 %)

    Septième roman de la série The Last of the Jedi, Secret Weapon effectue un petit retour aux sources avec une intrigue sur Bellassa, la planète des premiers tomes, intrigue qui continue à s’assombrir… et même un peu trop.

    Retour aux sources dangereux…

    Dans ce tome, Palpatine envoie Vador et Ferus Olin sur Bellassa, la planète natale de ce dernier, planète sur laquelle il est considéré comme un héros, et dont la présence aux côtés de Vador et du Moff Tarkin est censée aider les Bellassans à digérer la présence Impériale, présence due à la construction d’une partie d’une super-arme de la mort qui tue sur Bellassa. J’ai pas besoin de vous en dire plus pour que vous deviniez de quelle arme on parle…

    La présence de Ferus créé donc un fort ressentiment auprès de la population Bellassane, qui voit en lui un traître, un tourne-casaque, bref, un intrus. Cela nous conduit à quelques scènes plutôt sympathiques dans le traitement de la psychologie de Ferus et de son double-jeu.

    Parallèlement, une partie de ses amis arrive également sur Bellassa afin d’accroître le réseau de résistance à travers la galaxie. Parallèlement (bis), une autre partie de ses amis se retrouve sur Coruscant, où des agissements supposés d’un Jedi ont été repérés. Voilà. Trois intrigues donc, voire même 4 à un moment. Alors on n’est certes pas perdus entre l’une et l’autre, mais le fait que Jude Watson ait voulu faire faire autant de choses à ces personnages réduit drastiquement le nombre de pages allouées à chaque partie. Ainsi, par exemple, l’intrigue sur Coruscant est bouclée en deux temps trois mouvements, alors qu’elle aurait mérité un meilleur traitement. On aurait aimé avoir un resserrement autour de l’essentiel…

    Mais rassurez-vous, il se passe quand même énormément de choses intéressantes dans ce roman.

    Le syndrome George R.R. Martin

    Si comme moi, vous êtes fans de la série Le Trône de Fer (A Song of Ice and Fire pour les VOistes, ou Game of Thrones pour ceux qui regardent la série TV), vous n’allez pas me contredire : l’auteur créé des personnages, développe un mini-background (ou un background étoffé) autour d’eux, puis s’amuse à les tuer 15 pages après, même si ce sont des personnages qu’on a appris à aimer.

    Ben c’est un peu ce qui se passe dans ce roman, avec la mort de deux personnages (un dans chaque catégorie mentionnée ci-dessus), ce qui rend le roman bien plus sombre qu’il ne l’était déjà. Etait-ce bien utile ?

    Si vous avez lu mes critiques précédentes, vous avez constaté que l’ambiance de la série allait en s’assombrissant, atteignant un nouveau paroxysme après chaque tome. C’est encore le cas dans ce roman, et cela l’aurait été même s’il n’y avait pas eu ces deux morts… Mais bon, on ne va pas râler pour un peu de drame dans ce monde pas si cruel que ça !

    Conclusion :

    Malgré des intrigues qui partent dans tous les sens, Secret Weapon reste un bon roman noir, à ne pas mettre entre toutes les mains cependant. Le final nous promet également de belles virées près du côté obscur, et on s’en réjouit d’avance.