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Yan Solo au Bagne des Etoiles
  • Titre original Han Solo at Star's End
  • Genre Roman
  • Série Les Aventures de Yan Solo (Vol. 1)
  • Univers Legends
  • Année et période -1 (Empire)
  • Auteur(s) Brian Daley
  • Couverture Drew Struzan
  • Traducteur(s) Rosalie Guillaume
  • Synopsis :

    Yan Solo n'a confiance et ne rend service à personne sauf son copilote et désormais compagnon d'armes, le Wookiee Chewbacca. Mais quand le meilleur vaisseau de contrebande de la galaxie disparaît, Han et Chewie vont le chercher malgré tous les dangers : le Faucon Millenium mérite bien quelques égards ! Leurs recherches les conduisent face à des ennemis puissants et sans merci qui désirent leur mort avant tout et les entraînent finalement sur un astéroïde perdu au fin fond de la galaxie. C'est la prison de l'Autorité, planète plus connue sous le nom de Star’s End. A ce stade de leur quête, le Correllien et le Wookiee ne sont plus à deux ou trois ennuis prêts. Alors, forcément, ils foncent à leur rencontre, comme d’habitude.

  • Note du staff SWU
     (48 % - 4 commentaires)
  • Note des internautes
     (73 % - 11 commentaires)
     (65 %)

    Nous voilà à nouveau plongé dans une trilogie où Yan Solo est le personnage vedette. A la suite d’un simple contrat, Yan se retrouve en plein milieu d’une mystérieuse histoire d’enlèvement dans le Secteur corporatif qu’il va devoir élucider malgré lui.

    On retrouve donc le personnage de Yan qui cherche à sauver les apparences en se montrant comme un contrebandier froid et sans état d’âme mais qui au fond, ne peut s’empêcher de se mettre dans des situations périlleuses pour aider les autres. Ce joint à lui le package obligatoire : Un chewee toujours aussi efficace et dévoué, prêt à montrer les dents quand il faut. Un Faucon Millénium tout aussi rapide et puissance que délabré et en panne. Et une équipe de contrebandier dont une jolie femme auquel il ne peut résister.
    Pour ainsi dire, nous retrouverons dans ce roman tout l’esprit de la trilogie originale.
    A la différence de la trilogie de A. Crispin, cette trilogie nous raconte une histoire « local » : en effet, ce roman nous compte un passage de la vie de Solo qui n’interagie pas avec le reste de l’univers. En deux mots, il n’a pas le destin de la galaxie entre les mains mais uniquement sa vie et celle de quelques compagnons.
    Enfin la lecture est rapide, mais on est loin de s’ennuyer ou de vouloir sauter des passages.



    + Les plus

    • On retrouve notre contrebandier préféré.
    • On ne nous raconte pas un énième sauvetage de la Galaxie.

    - Les moins

    • Uniquement 220 pages, cela fait un peu court.

  • 04/10/2002
     (60 %)
    je me suis procuré le bouquin... Ok, j'ai pas tout compris, mais l'histoire est plutôt bien construite, même s'il n'y a pas de véritable enjeux puisque tout le monde sait que Yan et Chewie doivent ètre présents dans la trilogie...
    Les perso secondaire sont assez sympa et pytoresques, notament Bollux et Blue Max, les droides....
  • 14/08/2013
     (25 %)
    « L’autre » trilogie sur Han Solo  

    Si vous n’avez encore rien lu en roman sur le plus célèbre des contrebandiers de la galaxie Star Wars, alors nous sommes face à un dilemme. 
    Soit vous vous lancez dans cette trilogie baptisée malheureusement à juste titre « Les aventures de Han Solo », écrite par Brian Daley, et dont nous allons commenter le 1er tome, pour pouvoir ensuite passer à du nettement mieux avec l’autre trilogie écrite par A. C. Crispin. 
    Soit vous commencez par cette dernière, et ensuite vous pleurerez de douleur en essayant d’arriver au bout des pages de la trilogie qui nous intéresse. 

    Aventures ? Vous avez dit aventures ? 

    Han Solo au Bagne des étoiles annonce tout de suite la couleur ne serait-ce que par son titre : ça sent le processus racoleur trilogiste, on renoue avec du bon vieux serial classique, pour plonger dans la jeunesse du correlien et des péripéties qu’il va vivre avec son copilote poilu. Et bien que ce soit le genre de picth qui ravirait tout fan normalement constitué - a minima de la trilogie originale donc - la traduction sur le papier est nettement moins glorieuse. 

    Il s’agit en effet d’aventures. Mais au sens propre et niaiseux du terme. Qu’est-ce que dit le dictionnaire… « Ce qui advient dans le temps, généralement à un individu ou à un groupe d'individus, d'une manière plus ou moins imprévue ou normalement imprévisible ». Avec ça, normalement, pas le temps de s’ennuyer. Sauf que le défaut majeur, qui fait partir dès le début ce livre avec les pieds dans le béton, est qu’il ne s’agit que d’aventures. Il n’y a que ça. De la péripétie à faux suspense, pan pan, piou, pan, en veux-tu en voilà, ça part dans tous les sens et c’en est immédiatement ennuyeux. Même les situations au potentiel cool où on devrait prendre son pied à voir un jeune Han renverser une table et mitrailler à travers une cantina ne rendent rien. A vrai dire c’est tellement creux et dépourvu d’enjeu dramatique qu’on a du mal à se rappeler qu’il s’agit du duo Han et Chewbacca (mais on y reviendra plus bas). Tout ceci livré sous la pire des formes qui soient, un saut de ligne apparaissant toutes les 3 lignes pour bien casser la fluidité de lecture. J’ignore s’il s’agit d’une velléité du Fleuve Noir ou si cette mise en page est l’œuvre de l’auteur ou de Del Rey, mais c’est dans les trois cas une très mauvaise idée. 

    Scénario ? Vous avez dit Scénario ? 

    Pour rattraper tout ceci ne cherchez pas un scénario (s’entend un vrai scénario), il est minimaliste et tient en 3 lignes. La preuve : 

    Han et Chewbacca sont deux contrebandiers flirtant d’astéroïdes en planètes à la recherche d’argent et de travail qui paye bien. Et puis (!) Chewie est capturé. Alors Han Solo va aller le délivrer en s’adjoignant le service d’autres prisonniers. Pour ça, ils vont infiltrer le plus gros Q.G. du Secteur Corporatif en se déguisant en saltimbanques (!). Et à la fin pour s’échapper ils vont faire sauter toute la base qui va s’envoler dans l’espace avant de retomber par terre (!). 

    Oh. My. God. Je regrette mais tout ce qui est dit juste au-dessus est totalement vrai. On se retrouve donc avec une histoire nulle frisant l’invraisemblable (le Faucon volant avec une immense coque factice), qui autorise un entassement de scènes d’action inintéressantes (Chewie conduit une moissoneuse-batteuse), mais qui ne propose pas une seule fois l’approfondissement cohérent du personnage de Han Solo. Pire, on pourra simplement le soupçonner (et même constater) à de rares moments d’être un bel enfoiré, mais sans le côté rigolo qu’il avait pourtant déjà dans A New Hope. Ici, le mec n’a aucun scrupule à balancer quelqu’un dans le vide spatial quand même hein... Et ce sera le hasard ou Chewbacca qui le sortiront 10 fois sur 10 d’un mauvais pas. Magnifique, l’auteur est bien passé à côté de son sujet : on a un Han abruti et méchant. N’aurait été respectée son indéfectible attachement à Chewie, c’eût été un sans faute dans l’échec. 

    Max, l’ordinateur ! 

    A côté d’un Han mal cerné et d’un Chewbacca de papier à la vacuité de caractère caricatural, le bouquin essaye quand même de proposer de nouveaux personnages. Mais sur cet aspect, ça piétine mollement au début pour s’enliser définitivement dans un grand n’importe quoi. La fausse amourette de jeunesse de Han est prétexte à instaurer le plot de départ (« mon père aussi a été enfermé au bagne des étoiles, va le récupérer et tu sauveras Chewie »), les autres « aventuriers » qui suivent Han ne seront pas plus détaillés que ce dernier, et enfin, un seul mot suffira, Max. L’ordinateur qui est censé pouvoir aider tout ce beau monde dans leur mission périlleuse tient dans l’abdomen d’un droïde protocolaire bleu et s’appelle Max. Je ne sais pas quoi dire de plus. On se croirait dans un dessin animé, un truc de mauvais goût des années 80 qu’on pourrait regarder l’œil hagard en mangeant ses Chocapic devant la télé par un morne dimanche matin… 

    Conclusion 

    Vous l’aurez compris, ce livre ne vaut même pas son pesant de cacahuètes pour prendre l’expression au pied de la lettre. On voit se dérouler sous nos yeux un texte hybride, à mi chemin entre le pitch douteux de comic ultra light et le premier jet d’une mauvaise fan fiction. Le pire, c’est que l’auteur aurait très bien pu tirer partie de cette idée « d’aventures » en assumant quelque chose de très frais et léger. Mais Daley ne donne pas dans le léger et bel et bien dans le vide. Résultat : il est passé à côté de ses personnages et se cantonne à écrire une histoire qui malgré la présence du Secteur Corporatif et de Z-95 Head-Hunters manque d’une certaine saveur Star Wars Uesque… 
    Arrivé à la fin de ce premier tome, on regrette d’avoir découvert l’existence de cette trilogie, parce que devoir se lancer dans le second bouquin donne autant envie que de tenter de finir pour la 3e fois Les Enfants du Jedi. Mais à ce qu’il paraît c’est canon, et les folles aventures de Han Solo dans le Secteur Corporatif font bel et bien partie du passé de notre héros. C’est le seul élément qui donne le courage de s’attaquer à la suite, pour savoir ce qu’il a bien pu arriver d’autre au dynamic duo par le passé…
  • 25/08/2017
     (40 %)  •  Langue : VF
    Bon, je me suis farci ce Bagne des Etoiles...et c'est pas glorieux comme je m'y attendais, ayant lu des avis ici ou là.
    L'auteur nous pond une histoire absolument bateau et le seul moment qui m'a un tout petit peu intéressé est le moment où Han confond le traître. Tout le reste n'est que prétexte à scènes d'actions.
    La narration est parfois à la limite du compréhensible.
    Ajouté à çà une traduction que je suspecte de ne pas être ni la plus fidèle ni la plus réussie et ça nous donne 220 pages qui se lisent certes vite mais qui ne captivent en rien. Le comble c'est que je pense que si on enlève la mention de la guerre des Clones, et qu'on remplace les mots "Han Solo","Chewbacca","Millenium Falcon" et "secteur corporatif" (allez je rajoute "droides") on a l'impression de lire n'importe quel bouquin SF random un peu cheap de 70's...
    En clair, je suis certain de ne jamais avoir envie de rouvrir ce livre.

    Note : 40%