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Moi, Tarzan. Toi, Princesse Leia
  • Titre original Marvel Star Wars #53 & 54
  • Genre Comic-Book
  • Série Classic Star Wars - Marvel US (Vol. 24)
  • Univers Legends
  • Scénariste(s) Chris Claremont
  • Dessins Carmine Infantino
  • Encrage Tom Palmer
  • Couleurs Glynis Wein
  • Couverture Walter Simonson
  • Synopsis :

    La Princesse Leia se retrouve en difficulté après s’être écrasée sur une planète au niveau de technologie très inférieur. En l’absence de possibilités de regagner l’espace, Leia s’adapte et se retrouve rapidement au cœur des luttes armées pour le contrôle de la planète. Cependant, les amis de la Princesse ne restent pas les bras croisés et se lancent à sa recherche, de même que les Impériaux intéressés par ce monde demeuré indépendant. Qui arrivera le premier ?

  • Note du staff SWU
     (35 % - 2 commentaires)
  • Note des internautes
     (aucun commentaire disponible)
     (40 %)

    #53 : The Last Gift form Alderaan
    Titre original Français : "Quelques souvenirs d’Alderande"
    Scénario : Chris Claremont
    Dessins : Carmine Infantino, Walt Simonson
    Encrage : Tom Palmer
    Couleurs : Glynis Wein
    Couverture : Walt Simonson

    LeiaCeci est une des rares incursions de Claremont dans Star Wars, et pour le coup on se demande s’il ne s’est pas trompé d’univers. Le scénariste le plus connu des X-Men projette nos héros dans un univers plus proche de Conan et de l’heroic-fantasy que de la science-fiction un peu pulp qui caractérise Star Wars. Les personnages développés par Claremont ne sont pas intrinsèquement mauvais, c’est plutôt le contexte qui laisse un sentiment de décalage énorme au lecteur et l’empêche d’entrer complètement dans l’histoire. Concernant les développements, on a le droit aux interrogations assez classiques de « l’isolé », ici la Princesse Leia, qui se demande si elle a encore un espoir qu’on vienne la chercher ou si elle doit refaire sa vie sur ce monde où elle pourrait facilement trouver sa place.



    Conan le Barbare



    Les styles de Simonson et Infantino se marient bizarrement. L’histoire ne m’ayant pas passionné, je ne me suis pas attardé afin d’essayer de déterminer à quel dessinateur reviennent les planches. L’encrage de Palmer, comme souvent, aplanît bien les différences, mais on constate à plusieurs reprises des décrochages de style assez dérangeants. Etant donné que c’est la dernière prestation d’Infantino, on passe l’éponge (et on passe à autre chose surtout).

    PrincesseEncore une fois, une histoire avec un titre bien séduisant pour le lecteur, dont la déception face à cette pratique frelatée (déjà à l’époque, alors imaginez donc aujourd’hui) laissera bien vite place au fol espoir que Leia puisse mourir dans le crash dont elle est victime. Aux joies succèdent les peines (ou vice-versa) lorsque la Princesse s’en sort vivante, mais l’espoir existe toujours de la voir bloquée définitivement sur ce monde arriéré, loin de la série ! Croyez-le, ce petit jeu est certainement ce qu’il y a de plus intéressant dans le numéro.

    #54 : Starfire Rising
    Titre original Français : "Objectif : Illyriaqum"
    Scénario : Chris Claremont
    Dessins : Carmine Infantino, Walt Simonson
    Encrage : Tom Palmer
    Couleurs : Glynis Wein
    Couverture : Walt Simonson

    Bikini ContestAu cours de la première partie, Claremont a bien posé le décor de son monde coupé du reste de la galaxie. Cette fois-ci, il se concentre sur la rencontre de ce monde isolé avec l’Empire (et accessoirement l’Alliance). Les ramifications de l’intrusion d’une grande puissance galactique dans les luttes d’influences d’une planète sont assez bien exploitées, même si cela représente plus un sujet pour un roman de science-fiction qu’un comic book. Claremont, en bon connaisseur des attentes inavouées des lecteurs, introduit une bonne dose de soap entre Leia, Luke, et le couple royal. Han Solo doit se retourner dans son bloc de carbonite, ça fait deux fois en moins de 10 numéros que Leia flirte avec le premier prince venu !

    LeiaAu niveau des dessins, on augmente la difficulté du jonglage : comme si deux dessinateurs différents ne suffisaient pas, on ajoute trois encreurs. Avec cette chorale d’artistes, vous comprendrez aisément qu’il y a à boire et à manger au cours des 22 pages. Une constante néanmoins : le costume de Leia qui se raccourci page après page pour finir par ressembler plus à un maillot de bain qu’autre chose. Ce qui a l’intérêt de détourner l’attention du lecteur du mauvais goût en matière de vaisseaux (et de combat aérien) qui fait son retour en force alors qu’on avait constaté une amélioration au cours de l’aventure précédente.

    Destruction



    Une histoire sur deux numéros dont l’on peut largement faire l’économie de la lecture. Au cours de la série, des idées plus absurdes que celle de Claremont ont été développées, mais je ne peux pas m’enlever l’idée d’un gros hors sujet de sa part. Dommage.

  • 16/08/2017
     (30 %)  •  Langue : VF
    Un des arcs les plus creux et sans intérêt depuis le début de la série... Comme dit par le staff, le scénario est à côté de la plaque. Les dessins s'en sortent mieux mais hélas ça ne sauve rien. Seules les dernières pages du deuxième numéro remontent un peu le niveau ou tout du moins remettent l'histoire dans le bon univers.