StarWars-Universe.com utilise des cookies pour faciliter votre navigation sur le site, et à des fins de publicité, statistiques, et boutons sociaux. En poursuivant votre navigation sur SWU, vous acceptez l'utilisation des cookies ou technologies similaires. Pour plus d’informations, cliquez ici.  
Dark Vador - Le Neuvième Assassin
  • Titre original Darth Vader and the Ninth Assassin #1 & 5
  • Genre Comic-Book
  • Univers Legends
  • Année et période -18 (Empire)
  • Scénariste(s) Tim Siedell
  • Dessins Stephen Thompson & Ivan Fernandez
  • Encrage Mark Irwin & Denis Freitas
  • Couleurs Michael Atiyeh
  • Couverture Ariel Olivetti
  • Synopsis :

    Huit assassins engagés pour tuer - huit assassin morts. Désormais, l'homme qui les a engagés recherche un neuvième assassin. Le tarif ? Un prix plus élevé que tout ce qu'il possède dans ses inépuisables coffres. Mais lorsqu'il s'agit de venger son propre fils, aucun sacrifice n'est trop grand pour acquérir l'homme qui peut tuer le Seigneur Noir des Sith.

  • Note du staff SWU
     (50 % - 1 commentaire)
  • Note des internautes
     (40 % - 1 commentaire)
     (50 %)

    Voici donc le troisième tome de la série de comics débutant par « Darth Vader and… ». Après une première histoire carrément loupée ( Dark Vador – Mission Fatale, Darth Vader and the Lost Command en VO), une seconde à peine meilleure (Dark Vador et la Prison Fantôme, Darth Vader and the Ghost Prison en VO), ce troisième tome a-t-il franchement remonté la pente et enfin apporté quelque chose à cette mini-série ?

    Scénario :

    Un petit nouveau dans l’Univers Etendu s’y colle, il s’agit de Tim Siedell. Et on peut dire que le comic part plutôt pas mal, sans toutefois casser trois pattes à un canard : un homme (dont on ne connaîtra jamais l’identité, ouais, parce que Tim Siedell doit avoir du mal à créer des noms Star Warsiens) veut venger la mort de son fils, tué par Vador lui-même, et, après avoir engagé huit assassins (et donc récupéré huit cadavres) décide d’en engager un neuvième, qui a l’air bien plus terrible que les autres (mais comme nous ne sommes pas débiles, nous savons qu’il va terminer lui aussi en pâture pour vornskrs (oui, j’avais envie de caser des vornskrs dans ma critique)). La question est donc de savoir : comment ce neuvième assassin (qui n’a, lui non plus, pas de nom) va-t-il succomber ? Petite déception car il faudra attendre la fin du comic pour avoir la confrontation entre les deux…

    Parce que parallèlement, Siedell a la bonne idée de nous narrer le 2145ème complot contre l’Empereur… Et devinez qui va se coller à la résolution de ce complot ? Voilà, vous avez trouvé… Ceci va donc lancer Vador à la recherche d’une planète mystérieuse, sur laquelle il va découvrir (encore) une super-arme, une planète un peu mystique où vous n’allez rien comprendre à la moitié des choses qui s’y déroulent tellement c’est bizarre…

    Bref, présenté comme ça, ça ne paraît pas folichon, mais en fait ça se laisse lire, aux toilettes par exemple, ou un soir devant un match de foot… A noter que Siedell s’est offert un challenge : écrire une histoire de 120 pages avec le moins de bulles possibles. Ainsi, la 3ème partie de ce comic nous offre 40 bulles sur 24 pages (avec une moyenne de 3 mots par bulle), et la dernière partie propose un ratio encore plus bas… Vous aurez donc deviné que tout est dans l’action et dans le « bourrinage » pur et dur. Donc si vous voulez voir Vador cogner tout ce qui bouge, foncez !

    Dessins :

    Là aussi, deux petits nouveaux dans l’UE : Stephen Thompson et Ivan Fernandez. Et ils ne s’en sortent plutôt pas mal. Il y a eu mieux, certes, mais il y a également eu bien pire. Les scènes d’action (i.e. 85% du comic) sont sympathiques et se laissent regarder sans soucis de compréhension, et on a même droit à quelques paysages plutôt agréables à l’œil.

    Conclusion :

    Un comic dont le synopsis de départ n’a pas grand-chose à voir avec ce qu’il s’y passe, révélant une intrigue vue et revue, agrémentée d’un mysticisme beaucoup trop flou. Ce troisième tome des aventures de Dark Vador, rehaussé par des dessins tout à fait convenables, est donc encore une déception, beaucoup trop centré sur l’action à tout-va…