Spider Wars
Avant propos : Derrière ce titre ô combien original se cache un crossover entre l'univers Marvel et celui de Star Wars. L'histoire se concentrera sur notre tisseur préféré.
Cependant, je suis un néophyte en ce qui concerne l'univers Marvel et si jamais je me trompe quelque part, faites le savoir. M'enfin, je me débrouille suffisamment pour connaitre mon sujet ! Bien évidemment, les personnages appartiennent à Marvel et George Lucas, le reste appartient à moi. Au fait, avant de commencer, le Spider-Man présenté ici sera adolescent.
Bref, voici sans plus attendre, le premier chapitre !
Chapitre 1 :
C'était une belle journée dans la ville de New-York, les oiseaux faisait "cui-cui", les taxis était jaune et John Jonah Jameson était toujours furieux après l'homme-araignée. En parlant de celui-ci, il se dirigeait -ou plutôt se balançait d'immeuble en immeuble- vers son lycée, en retard.
- Foutu Docteur Octopus ! À cause de lui, je vais me faire tuer ! Pesta-il
Alors qu'il se posa sur le toit d'un immeuble pour vérifier l'heure sur son portable, une explosion attira son attention. Elle s'était produite sur l'avenue en contre-bas. Spidey se dépêcha afin de voir l'étendu des dégâts.
Au milieu de l'avenue il y avait un cratère fumant et plusieurs carcasse de voiture brûlaient. Après que la fumée se soit dissipée, Sipdey put enfin voir le responsable,. L'homme était vêtu de vert et portait un masque, c'était le docteur Fatalis.
- Oh, c'est Fatalis ! Fit le tisseur, à moitié surpris, je t'en prie fait comme chez toi ! C'est pas comme si j'avais presque 1 heure de retard à mon lycée.
Spider-Man remarqua que Fatalis tenait une étrange machine.
- Tiens, c'est quoi ça ? Encore une de tes inventions démoniââââque !! Dit-il en bougeant les doigts. Je dois avouer que ça force le respect, à chaque fois tu te fais massacrer par les Avengers, les 4 fantastiques ou bien moi mais tu reviens à la charge à chaque fois !
- Rigole tant que tu peux l'araignée parce que cette fois, tu ne l'emporteras pas ! Fit Fatalis
- Et blablablatunel'emporteraspasblablablajesuisleplusfortblablabla ! Tu sais des abrutis j'en ai vu défilé mais toi, tu est une synthèse. Provoqua Spider-Man
- Tu l'auras voulu, tant pis pour toi !
Fatalis activa sa machine qui émit une vive lumière et aveugla Spider-Man.
- Ouah ! Fit celui-ci, surpris
La lumière produite se transforma en une sorte de "portail" qui aspira Spider-Man comme un trou noir aspirerait de la lumière. L'appareil se referma et Fatalis poussa un rire mauvais.
- Hahaha ! Je l'ai enfin eu !
Plus tard...
Spider-Man était étendu inconscient sur le sol. Il se réveilla, non sans difficulté, et remarqua que sa tenue était très abîmée.
- Génial, je vais encore passer tout mon week-end à faire de la couture ! Bon, ça fait fait rien j'ai toujours mes vêtements dans mon sac.
Il regarda à droite et à gauche, personne. Il pouvait se changer en toute sécurité. Après cette besogne effectuée, il ramassa sa tenue déchirée et la mit dans son sac qu'il enfila. Il regarda autour de lui, il était dans ce qui ressemblait à une décharge.
- Je suis où ? Hé ben, pour une fois le docteur Fatalis m'a eu... Pouah ! Et qu'est-ce que ça schlingue ! Mon dieu, c'est pire que l'haleine de Wolverine !
Il chercha une sortie et remarqua un conduit, il était assez large pour un homme. Il l'emprunta et il pensa très fort pour que personne ne vide d'ordure.
Il s'extirpa du conduit après plusieurs minutes d'escalade, ses pouvoir lui ayant grandement facilité la tache. Mais, à peine a-t'il le temps de dire ouf que plusieurs dizaines droïdes de combat l’encerclèrent ! Spidey jeta un rapide coup d’œil, il se trouvait dans un endroit qui ne ressemblait plus du tout à New-York ! Il y avait des maison qui possédaient une architecture particulière, elle ressemblait à s'y méprendre à des maison qu'on trouverait sur Ryloth. Sauf que ces planètes n'existe pas ou du moins elles ne sont pas sensées exister.
Mais Spidey se trouvait bel et bien sur Ryloth, en pleine guerre des clones quelques heures avant le débarquement des troupes républicaines...
À suivre...
. Rien de nouveau à ajouter à mon premier commentaire.
