Y'a juste un petit truc qui me travaille.
Quand tu écris :
"Explorez de nombreux mondes,
leurs autochtones, leurs environnements..."
tout est ici lié au verbe "explorer".
Or si je conçois bien "explorez de nombreux mondes", je comprends moins bien "explorez les autochtones (de ces nombreux mondes)". On "n'explore" pas des gens. On les rencontre, on les découvre, on apprend à les connaître... Ici, c'est assez maladroit comme tournure.
Il aurait été plus précis - et plus joli - d'écrire quelque chose comme :
"Explorez de nombreux mondes,
rencontrez leurs autochtones,
découvrez leurs environnements..."
en plus, je mettrais "leur environnement" au singulier, chaque monde ayant son propre environnement (ensemble des éléments constitutifs du paysage naturel [d'une planète, d'un monde...])
Et tu n'as pas corrigé la faute sur "Faîtes-nous"... il y avait le tiret, certes, mais aussi, il ne faut pas d'accent circonflexe sur "faites-nous". (Il n'en faut jamais sur le verbe "faire"... ce n'est pas ici du "faîte du toit de la maison" dont il s'agit !
)
Sur le bandeau final, tu mets "vidéo by" et "illustration par"... je pense qu'il faudrait choisir une langue non ?
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Par ailleurs, J'ai jeté un oeil sur votre projet sur le site de "Octopousse".
Il y a quelques fautes d'orthographe/grammaire dans l'extrait de votre livre : (désolé, ça m'a accroché l'oeil
). Du coup je me permets de vous le signaler parce que, quand on veut "vendre'" un livre, ça le fait pas trop quand même
J'ai ajouté deux trois commentaires dont vous ferez ce que bon vous semblera.
"Alors que l’on courrait," => "courait" ("courrait" c'est le conditionnel présent) Note que l'usage du "on" impersonnel n'est pas conseillé dans une narration, ça fait oral et pauvre, surtout quand dans la phrase précédente, tu emploies le "nous".
Je senti => sentis
qu’on était très inférieur à lui. => Indépendamment de l'usage du "on" déjà mentionné, étant donné que ce "on" est mis pour "nous", il faudrait un "s" à "inférieur"
laisse le moi => laisse-le-moi
avec une vitesse et une force que je n’avais vu qu’en Rocka => vues (il y a 2 COD : vitesse + force)
Alors qu’il se servit de ce coup => on le lit trop souvent ce "alors que" + passé simple. "Alors que" et "Tandis que" impliquent une action qui dure (même très peu),
durant laquelle une autre action se produit. Du coup, "alors que" devrait être suivi ici d'un imparfait : "Alors qu'il se servait de ce coup, ... je tombai rapidement et heurtai lourdement le sol". Et encore, moi j'aurais mis "tombais" à l'imparfait en laissant "heurtai" effectivement au passé simple. Mais bon là, c'est subjectif.
quelques plaintes de douleurs => je mettrais pas de "s" à douleur. Ici ça représente "la sensation de douleur".
les yeux quasiment fermés à cause de la douleur => répétition sur "douleur"
Ces pas étaient lents, à la fois silencieux et lourd. => lourds
des pas qui s’étaient arrêté => arrêtés
me tordant encore de douleurs => pareil, je mettrais pas le "s"...
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sur ma lancée et parce que mes yeux se sont posés dessus, dans l'explication qui suit sur le pourquoi du projet, j'ai relevé :
Combien d’exemplaire seront imprimé ? => exemplaires ... imprimés
200 exemplaire ou plus => exemplaires
projets plus originaux destinés à être publié un jour ou l’autre => publiés
Sur le style un petit commentaire :
C'est très courageux d'avoir choisi la première personne comme point de vue de narration. C'est plus délicat qu'une vue à la 3e personne.
Dans une succession de "je" comme :
[i]"Je m’élançai en avant puis sautai en hauteur. Je m’appuyai de mon pied droit sur une caisse de marchandises pour aller plus haut. J’arrivai presque à sa hauteur"[/i]
tu pourrais casser cette suite en fusionnant par exemple les deux premières phrases :
"Je m’élançai en avant puis sautai en hauteur en m'appuyant de mon pied droit sur une caisse de marchandises pour aller plus haut. J’arrivai presque à sa hauteur"