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Les deux philosophies

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Messagepar Maître Helen » Dim 22 Juin 2014 - 12:38   Sujet: Les deux philosophies

Expliquation: Aimant les philosophies j'ai été intéressé par les différentes conceptions de la force, force vivante contre force unificatrice ou encore côté lumineux contre le côté obscur. Pour traiter de ces questions j'ai décidé d'écrire une petite Fan-Fiction qui se déroulera durant la guerre des clones. J'ai choisis cette période du fait de la rigidité de l'ordre Jedi et aussi parce que j'ai une connaissance un peu plus précise de l'époque. Vous retrouverez dans celle-ci des concepts de philosophe ou d'auteur du monde réel. Serez-vous les reconnaître?
Etant pas très bonne en rédaction n'hésitez pas à corriger mes fautes.



Chapitre 1: La rebellion d'un adolescent

Coruscant, la planète de tous les possibles, de la créativité et de la vie. Nicolas fixait ces mots écrient sur l'écran géant. Il n'en revenait pas. Comment peut-on qualifier cette planète de cette façon alors qu'elle est justement constituée d'un agglomérat de vies mortes. Des fourmis qui traversaient la ville sans la voir, sans essayer de dénicher l'étincelle de beauté dans cette ville, même s'il demandait si un tel mot pouvait-être utilisé ici. Les quartiers riches avec leurs immeubles voulant toucher le ciel, les quartiers pauvres moins bien lotis mais qui avaient le même objectif : s'étendre. Le gigantisme, cette maladie qui avait frappé planète poubelle depuis des millénaires. Plus personnes ne regardaient le sol et la vie qui se battait pour exister. Un certain nombre d'espèces s'y trouvaient, grandes ou petites, intelligentes ou idiotes, débrouillardes ou assistés, ou bien tout simplement un peu de tout cela. Malgré leurs caractéristiques différentes ils avaient un point commun : elles veulent survivre, conscientes que dans ce monde dominé par d'autres chaque instant doit être apprécié à sa juste valeur. Les hommes, eux, ne l'avaient toujours pas compris et la guerre qui venait d'éclater n'avait pas été l'électrochoc que Nicolas attendait. La guerre était encore trop lui pour que la moindre réflexion se fasse entendre sur la vie et la philosophie, ou plutôt sur la philosophie de la vie puisque les deux vont ensemble.

Nicolas fut interrompu par une mèche brune qui est venu réduire son champ de vision comme si elle avait voulu lui rappeler qu'il n'était pas ici pour observer les quartiers de Coruscant. Mais alors pourquoi se trouvait-il là ? Après quelques instants de réflexion la raison de sa présence lui revint à l'esprit : le temple Jedi voilà sa destination. Il se remit en mouvement. Sa destination ne l'enchentait pas beaucoup. Il l'avait quitté mais il était pourtant obligé d'y retourner. Pour comprendre cette situation retournons 10 ans en arrière. Manyo Flamel, le père de notre héros, était et est encore l'un des plus grands industriels de l'époque. Seuls les groupes membres de la CSI pouvaient devenir des concurrents suffisemment important pour que l'arrogant Flamel s'y intéresse. Ses activités étaient variées mais une intéressait particulièrement la République : son activité minière. Sa compagnie avait en effet inventé à partir de certains éléments déjà existant un minerai à la fois léger et résistant. La République pour se le procurer avait été obligé d'accepter l'intégration de son fils, pourtant âgé de 7 ans, dans l'ordre jedi. Ce dernier avait bien sûr protesté mais l'ordre Jedi s'étend de lui-même mis entre les mains du Sénat il ne put faire autrement. Oh bien sûr il ne s'agissait pas d'un cadeau pour son fils. Ce directeur commercial le voyait plutôt comme une obligation. Il était bien vu d'avoir des enfants alors il en avait fait un avec une femme qui disparut peu de temps après. On soupçonnait Manyo Flamel d'y être pour quelque chose mais personne ne pu le prouver. L'intégration du fruit de ses entrailles dans cet ordre millénaire était juste un moyen de faire parler de lui dans les salons mondains. C'est plus intéressant que les discussions qui s'y déroulaient. Oh M.Flamel vous avez mauvaise mine ce n'est pas convenable pour une personne de votre rang ! M.Flamel j'aimerais vous présenter ma fille, ravissante n'est ce pas ? M.Flamel j'aimerais conclure avec vous un contrat commercial. J'espère que celui-ci nous sera collectivement profitable . Il l'avait envoyé là-bas en sachant très bien qu'il ne si plairait pas. Mais pour un peu plus de renommée il était après à abandonner le peu de morale qu'il lui restait. Et comme prévu Nicolas Flamel ne se sentait pas à sa place. À tel point qu'il décida de quitter l'ordre ce qui déclencha un sentiment de malaise dans les instances dirigeantes de la République. Il avait été idiqué noir sur blanc que la société de son père arrêterait de livrer son produit si celui-ci n'est plus présent. Alors comme résoudre une telle situation ? Le chancelier Palpatine avait trouvé la solution : le padawan pouvait quitter officieusement le temple Jedi mais officiellement il y était encore. Si son père le réclamait il était obligé de revenir. C'était certainement pour cela qu'il était convoqué au temple.

Après quelques minutes Nicolas arriva devant l'entrée du lieu saint. Ou plutôt devant les marches y conduisant. Celles-ci élevaient le temple, montraient la supériorité de celui-ci face aux autres habitants et face à la vie elle-même que ce temple semblait vouloir dominer. Avant de monter les marches une par une il devait encore se calmer. Pour cela il possédait une technique qui a jusqu'ici toujours marché. Il pensa à ce moment, dans sa chambre , ou pour la première fois il écouta de la musique chose qui lui était strictement interdite. Il s'agissait d'une musique puissante,enivrante, qui avait sur lui des effets quasi magiques. Elle lui permettait de s'évader, de mettre son esprit en pause pour que son esprit s'évade dans des mondes imaginaires. La liberté,enfin ! Alors, poussé par un désir qui le brulait de l'intérieur, il décida d'utiliser la force pour sentir le monde autour de lui. Il entendait chaque note de musique qui émanait d'on ne sait pas ou et mourir remplacer par une autre note dans un tourbillon sonore. Il avait presque l'impression qu'il voyait les notes de musique se promener dans la salle. Il sentait l'air de la pièce se poser sur son corps nu, transportant les odeurs des autres êtres vivants. Il avait l'impression de ressentir leur émotion grâce à leurs odeurs. Chacune disposait d'un goût particulier que son corps et sa langue pouvaient interpréter. Ouï,odorat,toucher, vision tous ses sens étaient en eveille. Il était en extase et cette situation ne semblait pas s'arrêter, ce qui s'avéra exact puisqu'elle dura plusieurs heures. Après avoir ressenti cela il s'aperçut qu'il détenait une vérité : il était bien meilleur que les Jedi.

Ce rappel permit à Nicolas d'entrer dans le temple la tête haute. On lui avait dit de se diriger vers la bibliothèque ce qu'il fit. Ce lieu était le plus détestable du temple. Les connaissances regroupées ici étaient beaucoup trop nombreuses. On y découvrait tout ce que l'on avait besoin de savoir, du moins pour toutes les informations superficielles. On ne peut connaître une situation ou un lieu quant l'ayant vécu. Les livres informatiques nous privaient de cela, nous coupant du monde sensible en se mettant en travers de notre vie. En s'asseyant il reconnut Jocasta Nu,l'arrogance livresque incarnée. Les bases de données détenaient obligatoirement la vérité. Aucun esprit critique, aucune vérification juste en croyance. Ajouter à cela la philosophie jedi sur le renoncement aux sentiments elle représentait de manière limpide la pulsion de mort. Il attendit un quart d'heure avant de voir arriver le messager du conseil des Jedi, qu'il appelait volontiers le conseil des séniles. Avant que celui-ci ait eu le temps de parler Nicolas lança la discussion :

«-Alors que veut le conseil Jedi.Dois-je rencontrer les amis de mon père, aller en mission diplomatique ou bien simplement faire acte de présence.
-Rien de tout cela. Votre père souhaite que vous participiez à un banquet en son honneur. »

Nicolas ne répondit pas,mis KO par cette nouvelle. Reprenant ses esprits il déclara avec toutes l'agressivité qu'il avait :
«-Mon père a donc encore organisé une fête ou l'activité principale consiste à faire l'hypocrite et jouer les mannequins. Si c'est tout ce qu'il veut alors c'est d'accord ».

Le Jedi ne répondi rien. Il hocha la tête et disparu, le laissant seul maugréer contre son géniteur.

Fin de la première partie. Dans quelques jours je publierai la seconde partie du chapitre 1.Merci d'avance à ceux qui ont pris la peinde de lire mon texte.
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Messagepar Red Monkey » Mar 24 Juin 2014 - 23:11   Sujet: Re: Les deux philosophies

C'est spécial mais intéressant. Quelques détails donnent envie de savoir où tu veux aller avec cette histoire.
Mais ce qui m'a marqué le plus c'est le nom :D
Toute personne cultivée ne peut que remarquer Nicolas Flamel écrit blanc sur noir. L'inventeur de la pierre philosophale dans Star Wars, c'est amusant :D
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Messagepar Den » Jeu 26 Juin 2014 - 12:02   Sujet: Re: Les deux philosophies

Ouh! Voilà un concept intéressant. :)

C'est vrai que c'est spécial mais tu sais donner envie d'en savoir plus.

Perso, j'ai passé un très bon moment.
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Messagepar Maître Helen » Jeu 26 Juin 2014 - 16:47   Sujet: Re: Les deux philosophies

Merci pour vos messages encourageants. Je vais maintenant publier la seconde partie de ce chapitre qui a été écrit assez vite donc je ne sais pas si elle est au niveau. :

Un pas après l'autre, ne t'arrête, non continue nous n'avons pas de temps à perdre. Les pas de Nicolas étaient rythmés par ces obligations que son esprit hurlait à son corps comme deux camarades inséparables mais pourtant si différents. Enfin il posa son pied sur la dernière marche. La douleur qu'il avait ressenti s'évanouit instantanément. En toute logique Nicolas aurait dû se sentir beaucoup plus léger, prêt à commencer un niveau défi. Et pourtant il ressentait une sensation de vide. Il avait finit par intégrer la souffrance comme une part de lui-même. Elle lui procurait paradoxalement un plaisir intense, comme si les délires masochistes de son corps s'étaient répercutés sur son esprit sans que ce dernier ait son mot à dire. Il avait toujours possédé une grande sensorialité mais il ne pensait que cela pouvait se traduire d'une manière aussi déconcertante . Cette émotion lui avait donné un but : marcher, marcher toujours plus loin pour lui échapper et espérer atteindre la sérénité comme l'enseignait la doctrine Jedi. Et pourtant rien de tel. Ses jambes firent quelques pas sans que cela soit nécessaire. Il déambulait devant le portique du Sénat, un coup à droite un coup à gauche. On aurait presque dit qu'il dansait avec la brise légère, sa partenaire. Ses yeux se posèrent sur une des deux statuts encadrant l'entrée. Elle représentait le premier chancelier suprême, une grande figure oublier mais aduler par un cercle d'expert qui n'avait que cela à faire. Son nom était indiqué sur un petit écriteau mais à quoi bon si rendre. Le passé n'a plus aucune importance. L'avenir non plus d'ailleurs. Seul l'instant présent compte et Nicolas n'était pas décidé de le gâcher avec ce geste. Cette pensée le tira de sa transe. Il se souvint de tout : la publicité mensongère, le temple Jedi, son invitation, le temps passé pour s'habiller et surtout ce stupide droïde qui avait voulu coiffer ses cheveux en bataille. Il regarda l'heure : 19 heures 55, 5 minutes seulement avant le début de la soirée. Il accéléra le pas. Heureusement il savait ou il allait. Il sentait la concentration importante d'êtres humains dans une partie du Sénat. En 4 minutes il arriva à destination, essoufflé mais à l'heure et c'était le plus important.

La réception se tenait dans la salle la plus importante du Sénat après le lieu des délibérations. Pour l'occasion elle avait été largement décoré. Bougies, lustres, projecteurs holographiques, affiche présentant un moment important pour la République. Nicolas tournait continuellement sa tête pour essayer d'apercevoir un endroit simple,non décoré où il pourrait se mettre en toute discrétation. Ses espoirs furent doucher. Les droïdes protocolaires avaient décidément pensé à tout. Mais ce n'était pas bien grâce puisqu'il avait quelque chose d'encore plus important. Il fit un pas vers elle et leva...

« -Ah voilà Nicolas Flamel, clama une voix derrière lui.
-On avait supputé un retard de votre part, déclara une autre voix.
-Cela aurait été dommageable pour votre réputation. »

Il se retourna pour voir ses interlocuteurs mais avant qu'il ait pu les reconnaître des mèches brunes tombèrent sur ses yeux, l'empêchant ainsi de les voir, comme si elles présentaient un danger imminent. Après les avoir écartés il vu une silhouette fémine dégageant un charisme impressionnant, même pour Nicolas.

«-Maître Cho Leem ! Ravie de vous revoir. »

Il était sincère. Maître Cho Leem était l'une des seules Jedi qu'il respectait. Son refus de rester dans le temple Jedi était une source d'inspiration pour lui jusqu'au jour où il quitta lui aussi le temple.

«-Cela faisait effectivement longtemps. Il est dommage que vous soyez ici ; dans cette prison libre.
-Hum,hum fit une voie près d'elle.
-Ah oui c'est vrai vous êtes ici. Nicolas je vous présente les sénateurs Yako et Vosh. Ils sont censés être important.
-Nous sommes véritablement importants s'indigna le sénateur Yako.
-Je dirai même plus nous sommes indispensables pour cette vénérable institution. »
Avant qu'il ait pu répondre à ces affirmations on recommanda aux invités de s'installer. Laissant le petit groupe à leur occupation, après avoir lancer un regard à la Jedi qui trahissait tout le désir stoïcien qu'il avait pour elle, il alla s'installer à une table principale. Un autre Jedi qu'il ne connaissait pas était entrain de parler, ou plutôt de jouer un monologue théâtre au vu du peu de réponse que son interlocuteur donnait :

« -Prenez cette fourchette par exemple. Si je la lance et que je lui donne une conscience elle va me dire qu'elle a pris elle-même la décision de sauter pour atteindre des sommets. Il est donc évident que nous ne sommes pas responsable de nos actes.
-Excusez maître, dit Nicolas avec un ton qui le faisait passer pour un naïf, mais je me pose une question. Si nous ne sommes pas libres que faîtes vous des décisions prises grâce à la logique et à la raison ?
-La logique ? La raison ? Allons donc mon cher ces choses-là ne peuvent guider une vie.
-Alors qui le peut ?
-Le code Jedi bien entendu.
-Intéressant comme d'habitude, déclara l'homme à côté de lui. Pour comprendre ce guide pouvez-vous nous le réciter.
-Bien entendu : Il n'y a pas d'émotion, il y a la paix. »

Nicolas sentit alors un courant d'air qui fit changer la direction de son regard. La silhouette féminine qui avait provoqué ce courant d'air se déplaça gracieusement pour rejoindre sa place. Nicolas la regardait fixement grâce à son iris et à sa partie centrale qui avait augmenté de volume. Elle avait de magnifiques cheveux bruns, comme lui, qui se mariait parfaitement avec ses yeux bleus.

« -Il n'y a pas d'ignorance, il y a la connaissance. »

Elle sentait une odeur particulière, certainement dû à un parfum venu des plus grandes industries de Coruscant. Le genre de parfum qui peut soumettre n'importe quel individu grâce à son odeur alléchante.

« -Il n'y a pas de passion, il y a la sérénité. »

Grâce à la force il réussit à entendre les sons mélodieux qui sortaient de sa bouche, un déferlement de paroles de bon sens sur la morale,la liberté ou encore le corps humain.

«-Il n'y a pas de chaos, il y a l'harmonie. »

Le corps de Nicolas se pétrifia. Il était incapable de bouger, pouvant juste sentir le contact de l'air sur ses vêtements. Il commençait à perdre la notion du temps et de l'espace. Comme la dernière fois pensa-t'il.Les personnes et les objets autour de lui étaient devenu flous, une seule chose restait : la sortie. Une colombe pouvait-être aperçue à cet emplacement.

« -Il n'y a pas de mort, il y a la Force. Voilà ce qu'il faut suivre si on ne veut pas tomber dans le côté obscur de la force. »

Ces paroles ramenèrent Nicolas dans le monde réel. Contrairement à l'autre fois il n'était pas perdu après un tel événement. Au contraire il savait plus que jamais ce qu'il falait faire. Il se leva et malgré les regards surpris des pantins à côté de lui il s'avança jusqu'à la sortie. Une fois cela fait il jeta sa veste noire à terre. Tout en enlevant quelques boutons situés près de son coup il pensa à la dernière phrase du Jedi : «  voilà ce qu'il faut suivre si on ne veut pas tomber dans le côté obscur de la force ». La seule évocation de cette phrase déclencha un rire qu'il ne voulut même pas taire. Décidément ils ne comprendront jamais rien. Les Jedi ne sont pas l'opposé des Sith. Ils renoncent tous à la liberté et aux plaisirs pour une place dans leur ordre. Les Jedi en renonçant aux sentiments et les Siths en s'y soumettant. Mais la différence s'arrêtait là. Devant ces deux logiques Nicolas n'avait plus qu'une seule chose à dire : « Merde ! ».

J'ai utilisé dans ces deux passages un procédé littéraire et un exemple d'un philosophe. Serez-vous ce que c'est?
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Messagepar Den » Sam 12 Juil 2014 - 19:44   Sujet: Re: Les deux philosophies

Cette deuxième partie confirme mon premier ressenti: Cette fic est intrigante.

Le côté philosophique est bien marqué et donne un vraie substance à ton histoire. J'aime beaucoup.

Bonne continuation!
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