Expliquation: Aimant les philosophies j'ai été intéressé par les différentes conceptions de la force, force vivante contre force unificatrice ou encore côté lumineux contre le côté obscur. Pour traiter de ces questions j'ai décidé d'écrire une petite Fan-Fiction qui se déroulera durant la guerre des clones. J'ai choisis cette période du fait de la rigidité de l'ordre Jedi et aussi parce que j'ai une connaissance un peu plus précise de l'époque. Vous retrouverez dans celle-ci des concepts de philosophe ou d'auteur du monde réel. Serez-vous les reconnaître?
Etant pas très bonne en rédaction n'hésitez pas à corriger mes fautes.
Chapitre 1: La rebellion d'un adolescent
Coruscant, la planète de tous les possibles, de la créativité et de la vie. Nicolas fixait ces mots écrient sur l'écran géant. Il n'en revenait pas. Comment peut-on qualifier cette planète de cette façon alors qu'elle est justement constituée d'un agglomérat de vies mortes. Des fourmis qui traversaient la ville sans la voir, sans essayer de dénicher l'étincelle de beauté dans cette ville, même s'il demandait si un tel mot pouvait-être utilisé ici. Les quartiers riches avec leurs immeubles voulant toucher le ciel, les quartiers pauvres moins bien lotis mais qui avaient le même objectif : s'étendre. Le gigantisme, cette maladie qui avait frappé planète poubelle depuis des millénaires. Plus personnes ne regardaient le sol et la vie qui se battait pour exister. Un certain nombre d'espèces s'y trouvaient, grandes ou petites, intelligentes ou idiotes, débrouillardes ou assistés, ou bien tout simplement un peu de tout cela. Malgré leurs caractéristiques différentes ils avaient un point commun : elles veulent survivre, conscientes que dans ce monde dominé par d'autres chaque instant doit être apprécié à sa juste valeur. Les hommes, eux, ne l'avaient toujours pas compris et la guerre qui venait d'éclater n'avait pas été l'électrochoc que Nicolas attendait. La guerre était encore trop lui pour que la moindre réflexion se fasse entendre sur la vie et la philosophie, ou plutôt sur la philosophie de la vie puisque les deux vont ensemble.
Nicolas fut interrompu par une mèche brune qui est venu réduire son champ de vision comme si elle avait voulu lui rappeler qu'il n'était pas ici pour observer les quartiers de Coruscant. Mais alors pourquoi se trouvait-il là ? Après quelques instants de réflexion la raison de sa présence lui revint à l'esprit : le temple Jedi voilà sa destination. Il se remit en mouvement. Sa destination ne l'enchentait pas beaucoup. Il l'avait quitté mais il était pourtant obligé d'y retourner. Pour comprendre cette situation retournons 10 ans en arrière. Manyo Flamel, le père de notre héros, était et est encore l'un des plus grands industriels de l'époque. Seuls les groupes membres de la CSI pouvaient devenir des concurrents suffisemment important pour que l'arrogant Flamel s'y intéresse. Ses activités étaient variées mais une intéressait particulièrement la République : son activité minière. Sa compagnie avait en effet inventé à partir de certains éléments déjà existant un minerai à la fois léger et résistant. La République pour se le procurer avait été obligé d'accepter l'intégration de son fils, pourtant âgé de 7 ans, dans l'ordre jedi. Ce dernier avait bien sûr protesté mais l'ordre Jedi s'étend de lui-même mis entre les mains du Sénat il ne put faire autrement. Oh bien sûr il ne s'agissait pas d'un cadeau pour son fils. Ce directeur commercial le voyait plutôt comme une obligation. Il était bien vu d'avoir des enfants alors il en avait fait un avec une femme qui disparut peu de temps après. On soupçonnait Manyo Flamel d'y être pour quelque chose mais personne ne pu le prouver. L'intégration du fruit de ses entrailles dans cet ordre millénaire était juste un moyen de faire parler de lui dans les salons mondains. C'est plus intéressant que les discussions qui s'y déroulaient. Oh M.Flamel vous avez mauvaise mine ce n'est pas convenable pour une personne de votre rang ! M.Flamel j'aimerais vous présenter ma fille, ravissante n'est ce pas ? M.Flamel j'aimerais conclure avec vous un contrat commercial. J'espère que celui-ci nous sera collectivement profitable . Il l'avait envoyé là-bas en sachant très bien qu'il ne si plairait pas. Mais pour un peu plus de renommée il était après à abandonner le peu de morale qu'il lui restait. Et comme prévu Nicolas Flamel ne se sentait pas à sa place. À tel point qu'il décida de quitter l'ordre ce qui déclencha un sentiment de malaise dans les instances dirigeantes de la République. Il avait été idiqué noir sur blanc que la société de son père arrêterait de livrer son produit si celui-ci n'est plus présent. Alors comme résoudre une telle situation ? Le chancelier Palpatine avait trouvé la solution : le padawan pouvait quitter officieusement le temple Jedi mais officiellement il y était encore. Si son père le réclamait il était obligé de revenir. C'était certainement pour cela qu'il était convoqué au temple.
Après quelques minutes Nicolas arriva devant l'entrée du lieu saint. Ou plutôt devant les marches y conduisant. Celles-ci élevaient le temple, montraient la supériorité de celui-ci face aux autres habitants et face à la vie elle-même que ce temple semblait vouloir dominer. Avant de monter les marches une par une il devait encore se calmer. Pour cela il possédait une technique qui a jusqu'ici toujours marché. Il pensa à ce moment, dans sa chambre , ou pour la première fois il écouta de la musique chose qui lui était strictement interdite. Il s'agissait d'une musique puissante,enivrante, qui avait sur lui des effets quasi magiques. Elle lui permettait de s'évader, de mettre son esprit en pause pour que son esprit s'évade dans des mondes imaginaires. La liberté,enfin ! Alors, poussé par un désir qui le brulait de l'intérieur, il décida d'utiliser la force pour sentir le monde autour de lui. Il entendait chaque note de musique qui émanait d'on ne sait pas ou et mourir remplacer par une autre note dans un tourbillon sonore. Il avait presque l'impression qu'il voyait les notes de musique se promener dans la salle. Il sentait l'air de la pièce se poser sur son corps nu, transportant les odeurs des autres êtres vivants. Il avait l'impression de ressentir leur émotion grâce à leurs odeurs. Chacune disposait d'un goût particulier que son corps et sa langue pouvaient interpréter. Ouï,odorat,toucher, vision tous ses sens étaient en eveille. Il était en extase et cette situation ne semblait pas s'arrêter, ce qui s'avéra exact puisqu'elle dura plusieurs heures. Après avoir ressenti cela il s'aperçut qu'il détenait une vérité : il était bien meilleur que les Jedi.
Ce rappel permit à Nicolas d'entrer dans le temple la tête haute. On lui avait dit de se diriger vers la bibliothèque ce qu'il fit. Ce lieu était le plus détestable du temple. Les connaissances regroupées ici étaient beaucoup trop nombreuses. On y découvrait tout ce que l'on avait besoin de savoir, du moins pour toutes les informations superficielles. On ne peut connaître une situation ou un lieu quant l'ayant vécu. Les livres informatiques nous privaient de cela, nous coupant du monde sensible en se mettant en travers de notre vie. En s'asseyant il reconnut Jocasta Nu,l'arrogance livresque incarnée. Les bases de données détenaient obligatoirement la vérité. Aucun esprit critique, aucune vérification juste en croyance. Ajouter à cela la philosophie jedi sur le renoncement aux sentiments elle représentait de manière limpide la pulsion de mort. Il attendit un quart d'heure avant de voir arriver le messager du conseil des Jedi, qu'il appelait volontiers le conseil des séniles. Avant que celui-ci ait eu le temps de parler Nicolas lança la discussion :
«-Alors que veut le conseil Jedi.Dois-je rencontrer les amis de mon père, aller en mission diplomatique ou bien simplement faire acte de présence.
-Rien de tout cela. Votre père souhaite que vous participiez à un banquet en son honneur. »
Nicolas ne répondit pas,mis KO par cette nouvelle. Reprenant ses esprits il déclara avec toutes l'agressivité qu'il avait :
«-Mon père a donc encore organisé une fête ou l'activité principale consiste à faire l'hypocrite et jouer les mannequins. Si c'est tout ce qu'il veut alors c'est d'accord ».
Le Jedi ne répondi rien. Il hocha la tête et disparu, le laissant seul maugréer contre son géniteur.
Fin de la première partie. Dans quelques jours je publierai la seconde partie du chapitre 1.Merci d'avance à ceux qui ont pris la peinde de lire mon texte.