Je ne sais pas si ça correspond à la "ligne éditoriale" de Star Wars Universe, à vous de me dire. Disons que ça commence tranquillement, mais ensuite ça risque d'être très très sombre. C'est une nouvelle composée de mini-chapitres.
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1 Une mauvaise décision.
Le plus gênant avec les mauvaises décisions, c’est que lorsqu’on s’en rend compte, il est souvent un peu tard.
C’était bien une mauvaise décision qu’avait pris Deim Sayal. Le genre de chose que l’on regrette même si ça ne sert plus à rien.
En quelques jours, il était passé d’une vie banale à une vie mortelle. Ce n’était pourtant pas le genre d’homme à aimer frôler la mort. Pourtant, là, avec les deux contrebandiers à ses trousses, il allait avoir du mal à quitter la planète.
Deim avait englouti toutes ses économies durement gagnées dans un pari risqué. On lui avait proposé l’affaire du siècle : transporter une marchandise de Denon à Corellia avec une tonne de crédit à la clef.
Maintenant que Deim se retrouve à courir dans les rues de Corellia, il se dit que cela ressemble plus à une histoire dont il avait entendu parler : le Tangreese (une arnaque).
La marchandise… il aurait dû s’en soucier dès le départ. Il se doutait bien que ce n’était pas clair et qu’il pourrait avoir des problèmes à un moment donné. Ce qu’il ignorait, c’était que d’autres contrebandiers lui voleraient sa cargaison et en profiteraient pour tenter de l’abattre.
Sur les deux types en qui il avaient confiance, visiblement l’un d’eux avait trahi l’autre. Le corps gisait au fond de l’impasse, près des docks où Deim s’était rendu. Il n’avait pas compris tout de suite. Il imaginait que le survivant était retenu en otage par un Trandoshan, alors que le contrebandier venait de tuer son collègue. Quand quatre autres Trandoshans sont sorti de leur cachette, le message est devenu limpide.
Deim a abandonné le chariot anti-gravité et a décampé sans réclamer sa paye ! Ainsi, il laissa derrière lui des caisses pleines d’armes dont il aurait bien besoin maintenant…
L’humain et le Trandoshan lui collent aux talons. Deim court vite, mais il n’est pas très endurant. Lorsqu’il traverse les quais, il en profite pour semer la zizanie et parviens à prendre de l’avance sur ses poursuivants. Les deux malfrats n’apprécient pas de se faire distancer et ils commencent à ouvrir le feu.
Lorsque les tirs sifflent autour de Deim, il se rend compte que ce n’était vraiment pas une bonne idée la contrebande !
« Pourquoi j’ai accepté ? il faut vraiment être fou ! ». Fou ou naïf, peu importe, la mort sera la même s’il ne parvient pas à rejoindre son vaisseau.
Deim ne réalise pas pourquoi les deux bandits veulent le tuer, mais il n’a pas vraiment le temps de réfléchir. Arrivé dans son vaisseau, Deim reprend son souffle. Veulent-ils le supprimer pour éviter un témoin ? Quel intérêt ?!? Il n’ira pas se vanter d’avoir transporté une cargaison d’armes ! Peut-être veulent-ils aussi son vaisseau ? Ce n’est pas bien grand, mais il y a une bonne soute. La soute ! Il n’avait même pas fini de la décharger… !
Pas le temps de réfléchir ou de tenter de négocier, Deim empoigne les commandes du vaisseau cargo et tire dessus à fond ; il décolle pratiquement à la verticale et frôle une gros corvette entrain d’amarrer.
C’est la deuxième fois en quelques minutes qu’il joue avec sa vie.
Les deux contrebandiers continuent de lui tirer dessus, en vain. Deim s’éloigne rapidement de l’astroport. Aucune alerte ni forces de l’ordre ! Rien ne vient freiner sa fuite.
Le plus gênant avec les mauvaises décisions, c’est que lorsqu’on s’en rend compte, il est souvent un peu tard.
C’était bien une mauvaise décision qu’avait pris Deim Sayal. Le genre de chose que l’on regrette même si ça ne sert plus à rien.
En quelques jours, il était passé d’une vie banale à une vie mortelle. Ce n’était pourtant pas le genre d’homme à aimer frôler la mort. Pourtant, là, avec les deux contrebandiers à ses trousses, il allait avoir du mal à quitter la planète.
Deim avait englouti toutes ses économies durement gagnées dans un pari risqué. On lui avait proposé l’affaire du siècle : transporter une marchandise de Denon à Corellia avec une tonne de crédit à la clef.
Maintenant que Deim se retrouve à courir dans les rues de Corellia, il se dit que cela ressemble plus à une histoire dont il avait entendu parler : le Tangreese (une arnaque).
La marchandise… il aurait dû s’en soucier dès le départ. Il se doutait bien que ce n’était pas clair et qu’il pourrait avoir des problèmes à un moment donné. Ce qu’il ignorait, c’était que d’autres contrebandiers lui voleraient sa cargaison et en profiteraient pour tenter de l’abattre.
Sur les deux types en qui il avaient confiance, visiblement l’un d’eux avait trahi l’autre. Le corps gisait au fond de l’impasse, près des docks où Deim s’était rendu. Il n’avait pas compris tout de suite. Il imaginait que le survivant était retenu en otage par un Trandoshan, alors que le contrebandier venait de tuer son collègue. Quand quatre autres Trandoshans sont sorti de leur cachette, le message est devenu limpide.
Deim a abandonné le chariot anti-gravité et a décampé sans réclamer sa paye ! Ainsi, il laissa derrière lui des caisses pleines d’armes dont il aurait bien besoin maintenant…
L’humain et le Trandoshan lui collent aux talons. Deim court vite, mais il n’est pas très endurant. Lorsqu’il traverse les quais, il en profite pour semer la zizanie et parviens à prendre de l’avance sur ses poursuivants. Les deux malfrats n’apprécient pas de se faire distancer et ils commencent à ouvrir le feu.
Lorsque les tirs sifflent autour de Deim, il se rend compte que ce n’était vraiment pas une bonne idée la contrebande !
« Pourquoi j’ai accepté ? il faut vraiment être fou ! ». Fou ou naïf, peu importe, la mort sera la même s’il ne parvient pas à rejoindre son vaisseau.
Deim ne réalise pas pourquoi les deux bandits veulent le tuer, mais il n’a pas vraiment le temps de réfléchir. Arrivé dans son vaisseau, Deim reprend son souffle. Veulent-ils le supprimer pour éviter un témoin ? Quel intérêt ?!? Il n’ira pas se vanter d’avoir transporté une cargaison d’armes ! Peut-être veulent-ils aussi son vaisseau ? Ce n’est pas bien grand, mais il y a une bonne soute. La soute ! Il n’avait même pas fini de la décharger… !
Pas le temps de réfléchir ou de tenter de négocier, Deim empoigne les commandes du vaisseau cargo et tire dessus à fond ; il décolle pratiquement à la verticale et frôle une gros corvette entrain d’amarrer.
C’est la deuxième fois en quelques minutes qu’il joue avec sa vie.
Les deux contrebandiers continuent de lui tirer dessus, en vain. Deim s’éloigne rapidement de l’astroport. Aucune alerte ni forces de l’ordre ! Rien ne vient freiner sa fuite.