[En cours/Série/Episode 14 sur 17] Les Anges de la Force

[Nicravin Ancien staffeur]

Nicravin, le lecteur le plus lent de l'histoire de la fanfiction, est de retour !

Donc j'ai repris la lecture des AdlF cet après-midi après un long temps d'absence tout à fait injustifié et le moins qu'on puisse dire c'est que je ne le regrette pas une seconde : comme d'habitude, c'était très bien. L'histoire prend quelques virages palpitants et c'est tant mieux : je pense surtout à l'alliance entre Evyk et Essaï, que je n'avais pas du tout vue venir et j'espère - et devine - qu'on en restera pas là, à Artémis qui assassine finalement Vketo et à ses remords quand à son mode de vie en général. Je dois dire que j'ai beaucoup, mais alors beaucoup, aimé l'image d'Artémis aux mains ensanglantées : c'était très bien pensé. Cette scène toute entière est sans aucun doute la meilleure que j'aie lue jusqu'à présent d'un point de vue psychologique de la fic.

Sinon, j'ai (enfin) remarqué un tic d'écriture chez toi : tu as tendance dans les moments de narrations (particulièrement les combats) à écrire "tout en" + un participe présent. C'est pas du tout gênant en soi mais comme ça peut parfois se retrouver plusieurs fois par paragraphes et ça commence alors à poser problèmes.

Du côté de chez Clohé et Arès ça commence à bouger et je n'en démords pas : Arès est génial pour infiltrer tout seul la base du caïd de Corelia pour sauver Cllohé et Booden. Faut le faire, et en quelques heures encore ! Quelle classe !
J'ai aussi bien aimé les commencements de "développement de fond" (c'est clair comme expression ? ) de Clohé : on commence à voir un vrai personnage se dessiner avec une personnalité, ses qualités (et ses défauts ?) ; la fin avec l'holocron de Luke/Mara donne très fort envie de lire la suite qu'on devine géniale .
Et en parlant de clifhanger, je dois dire que c'est du sadisme pur et simple d'avoir fini entre rêve et réalité comme ça.

adlf_épisode 9.docx

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[Oiki Ran Jedi SWU]

Bonjour!!

Nicravin, le lecteur le plus lent de l'histoire de la fanfiction, est de retour !

Oufti, tu m'as surpris, j'ai cru que tu avais arrêté la lecture. Je te remercie donc pour ta persévérance.

Donc j'ai repris la lecture des AdlF cet après-midi après un long temps d'absence tout à fait injustifié et le moins qu'on puisse dire c'est que je ne le regrette pas une seconde : comme d'habitude, c'était très bien.

Merci, j'ai chaque fois essayer d'imaginer la meilleure histoire possible et de surpasser la précédente.

L'histoire prend quelques virages palpitants et c'est tant mieux : je pense surtout à l'alliance entre Evyk et Essaï, que je n'avais pas du tout vue venir et j'espère - et devine - qu'on en restera pas là, à Artémis qui assassine finalement Vketo et à ses remords quand à son mode de vie en général.

Il est vrai que je préfère les chemins détournés à celui plus direct. J'ai relu rapidement cet épisode (histoire de me le remémorer) et j'ai bien apprécié toute la partie se déroulant sur Lianna. L'affrontement en plusieurs partie entre Evyk et Essaï m'a vraiment plu. Je trouve qu'ils se débrouillent très bien tous les deux. Ce que j'apprécie, c'est qu'Evyk ne triomphe pas les doigts dans le nez, Essaï lui donne du fil à retordre sans que le Jedi paraisse stupide. D'ailleurs, je m'amuse à lancer des piques aux auteurs (pros ou amateurs) qui pour faciliter une circonvolution de l'intrigue choisissent la facilité de rendre le personnage très stupide pour l'occasion.
Artémis quant à elle est plus sombre que jamais et très acide dans ses propos. Par contre, je regrette la gifle et je pense que si je devais réécrire la scène, je la supprimerais.

e dois dire que j'ai beaucoup, mais alors beaucoup, aimé l'image d'Artémis aux mains ensanglantées : c'était très bien pensé. Cette scène toute entière est sans aucun doute la meilleure que j'aie lue jusqu'à présent d'un point de vue psychologique de la fic.

Je dois dire que je suis tout ému et que je ne m'attendais pas à un tel compliment. MERCI!!
C'était en tout cas une explication qui était prévue depuis le début de l'histoire ou presque. Par contre, je ne me souvenais plus que ça se déroulait dans son vaisseau.

Sinon, j'ai (enfin) remarqué un tic d'écriture chez toi : tu as tendance dans les moments de narrations (particulièrement les combats) à écrire "tout en" + un participe présent. C'est pas du tout gênant en soi mais comme ça peut parfois se retrouver plusieurs fois par paragraphes et ça commence alors à poser problèmes.

Noté et ça ne me surprend pas trop. Par contre, j'ai plus l'impression d'utiliser ce tic d'écriture au cours de mes dialogues. Ca me permet de décrire deux événements se déroulant quasi simultanément, ce qui est effectivement le cas durant une scène d'action ou un dialogue.

Du côté de chez Clohé et Arès ça commence à bouger et je n'en démords pas : Arès est génial pour infiltrer tout seul la base du caïd de Corelia pour sauver Cllohé et Booden. Faut le faire, et en quelques heures encore ! Quelle classe !

Par contre, je ne suis pas des plus fier de cette partie de l'histoire car justement je pense que je suis tombé dans la facilité. Arès est certes fort, mais il berne trop facilement Kharxex et tout se passe un peu trop rapidement.

J'ai aussi bien aimé les commencements de "développement de fond" (c'est clair comme expression ? ) de Clohé : on commence à voir un vrai personnage se dessiner avec une personnalité, ses qualités (et ses défauts ?) ; la fin avec l'holocron de Luke/Mara donne très fort envie de lire la suite qu'on devine géniale .

Clohé est un personnage pour qui j'ai beaucoup de tendresse et qui s'est développé naturellement sans que je m'y rende compte. Je n'avais pas de plan précis concernant ce personnage au début de l'histoire. Elle s'est imposée à moi (un peu comme Lexan) au fur et à mesure que je l'utilisais. Elle a commencé en tant que génie de l'informatique et est devenue peu à peu une jeune femme un peu perdue cherchant sa voit (à tel point que ses qualités informatiques sont désormais très secondaires).
Je suis ravi que tu approuves l'holocron. D'ailleurs, celui-ci est un petit plaisir personnel!

Et en parlant de clifhanger, je dois dire que c'est du sadisme pur et simple d'avoir fini entre rêve et réalité comme ça.

J'ai pour règle de soigner un maximum mes entrées et mes sorties d'épisode.

Oiki Ran, le Ktâ qui te remercie pour ton commentaire et tes corrections!!

[Nicravin Ancien staffeur]

Oufti, tu m'as surpris, j'ai cru que tu avais arrêté la lecture. Je te remercie donc pour ta persévérance.

Maintenant que j'ai repris la lecture, la suite devrait aller plus vite.

Il est vrai que je préfère les chemins détournés à celui plus direct. J'ai relu rapidement cet épisode (histoire de me le remémorer) et j'ai bien apprécié toute la partie se déroulant sur Lianna. L'affrontement en plusieurs partie entre Evyk et Essaï m'a vraiment plu. Je trouve qu'ils se débrouillent très bien tous les deux. Ce que j'apprécie, c'est qu'Evyk ne triomphe pas les doigts dans le nez, Essaï lui donne du fil à retordre sans que le Jedi paraisse stupide. D'ailleurs, je m'amuse à lancer des piques aux auteurs (pros ou amateurs) qui pour faciliter une circonvolution de l'intrigue choisissent la facilité de rendre le personnage très stupide pour l'occasion.

C'est sûr que dans un roman d'aventures (pro ou amateur) si le héros gagne les doigts dans le nez, c'est pas super-passionant.
Et l'histoire d'Essay et Evyk en est le parfait exemple : même (et sans doute en partie grâce à) son échec, le héros ressort grandi des épreuves ; l'échec souligne la qualité de l'adversaire.

Artémis quant à elle est plus sombre que jamais et très acide dans ses propos. Par contre, je regrette la gifle et je pense que si je devais réécrire la scène, je la supprimerais.

Moi j'ai bien aimé : c'était un geste pas très classe de la part d'Evyk, ça prouve bien que même le meilleur peu faillir (et comme elle le dit elle même : elle l'a amplement méritée).

Je dois dire que je suis tout ému et que je ne m'attendais pas à un tel compliment. MERCI!!
C'était en tout cas une explication qui était prévue depuis le début de l'histoire ou presque. Par contre, je ne me souvenais plus que ça se déroulait dans son vaisseau.

Le fait que ça se déroule dans le vaisseau était une très bonne idée je trouve : c'est le seul endroit où Artémis peut vraiment se sentir "chez elle" et où elle soit suffisamment à l'aise que pour faire une action aussi intime (pour elle) que d'enlever ses gants. Ça a beaucoup joué dans la crédibilité de la scène et, dans une moindre mesure, dans l'émotion (elle est touchée dans sa "forteresse" là où elle devrait être protégé).

Par contre, je ne suis pas des plus fier de cette partie de l'histoire car justement je pense que je suis tombé dans la facilité. Arès est certes fort, mais il berne trop facilement Kharxex et tout se passe un peu trop rapidement.

Effectivement il y a peut-être un manque de vraisemblance mais si quelque chose devait me gêner ce serait pas tellement qu'il berne facilement Kharxex, après tout aucun jugement n'est parfait, mais bien le fait que tout son système de défense soit aussi facile à désorganiser (quelques explosions et on en sort comme une fleur).

Noté et ça ne me surprend pas trop. Par contre, j'ai plus l'impression d'utiliser ce tic d'écriture au cours de mes dialogues. Ca me permet de décrire deux événements se déroulant quasi simultanément, ce qui est effectivement le cas durant une scène d'action ou un dialogue.

Ravi d'avoir pu être utile.

Clohé est un personnage pour qui j'ai beaucoup de tendresse et qui s'est développé naturellement sans que je m'y rende compte. Je n'avais pas de plan précis concernant ce personnage au début de l'histoire. Elle s'est imposée à moi (un peu comme Lexan) au fur et à mesure que je l'utilisais. Elle a commencé en tant que génie de l'informatique et est devenue peu à peu une jeune femme un peu perdue cherchant sa voit (à tel point que ses qualités informatiques sont désormais très secondaires).
Je suis ravi que tu approuves l'holocron. D'ailleurs, celui-ci est un petit plaisir personnel!

C'est souvent comme ça : les personnages les moins planifiés finissent par avoir la meilleure part...Tant mieux au fond, ça prouve que l'écriture n'est pas quelque chose de passif et que l'auteur s'investit dans son travail.

J'ai pour règle de soigner un maximum mes entrées et mes sorties d'épisode.

Et ça marche.^^

[Oiki Ran Jedi SWU]

Bonjour!!

Maintenant que j'ai repris la lecture, la suite devrait aller plus vite.

Oki... Continue à ton rythme, ça me fait de belles surprises quand je ne m'y attends pas!

C'est sûr que dans un roman d'aventures (pro ou amateur) si le héros gagne les doigts dans le nez, c'est pas super-passionant.

Je pense qu'on peut généraliser cela à toute oeuvre de création, que ce soit un livre, une BD, un film, une série, etc... Je dirais que le contraire est aussi valable: si le méchant gagne trop facilement, cela fait passer le héros pour un imbécile de première. De plus dans ce cas-ci, à la fin, vu que le héros doit gagner, on nous offre un retournement de situation qui est la plupart du temps assez rocambolesque.

Et l'histoire d'Essay et Evyk en est le parfait exemple : même (et sans doute en partie grâce à) son échec, le héros ressort grandi des épreuves ; l'échec souligne la qualité de l'adversaire.

J'ai pour devise que pour avoir un bon héros, il faut un excellent méchant. D'ailleurs, l'un ne va pas sans l'autre et meilleur l'un des personnages sera, meilleur l'autre le sera aussi. Enfin, j'essaye d'avoir des personnages (autant héros que méchant) qui réfléchissent avant de se lancer dans l'action. Ainsi, celui qui triomphe est généralement celui qui s'est montré le plus malin et non celui qui est le plus chanceux.

Moi j'ai bien aimé : c'était un geste pas très classe de la part d'Evyk, ça prouve bien que même le meilleur peu faillir (et comme elle le dit elle même : elle l'a amplement méritée).

Ok... Certes, elle l'a bien mérité, mais je pense qu'il existait un moyen autre que donner une gifle à une femme pour exprimer son mécontentement... En fin de compte, je suis, a posteriori, mal à l'aise vis à vis de ce geste.

Le fait que ça se déroule dans le vaisseau était une très bonne idée je trouve : c'est le seul endroit où Artémis peut vraiment se sentir "chez elle" et où elle soit suffisamment à l'aise que pour faire une action aussi intime (pour elle) que d'enlever ses gants. Ça a beaucoup joué dans la crédibilité de la scène et, dans une moindre mesure, dans l'émotion (elle est touchée dans sa "forteresse" là où elle devrait être protégé).

Oufti, je n'avais pas pensé à tout cela en écrivant cette scène . Ou alors c'était inconscient, ou alors je m'en souviens plus!
Mais au lieu que ce soit dans le Délos, je pensais que cette scène se déroulait dans son appartement, ce qui reviens finalement au même.

Effectivement il y a peut-être un manque de vraisemblance mais si quelque chose devait me gêner ce serait pas tellement qu'il berne facilement Kharxex, après tout aucun jugement n'est parfait, mais bien le fait que tout son système de défense soit aussi facile à désorganiser (quelques explosions et on en sort comme une fleur).

C'est vrai aussi, et c'est donc pour cela que cette intrigue ne restera pas dans mes annales.

C'est souvent comme ça : les personnages les moins planifiés finissent par avoir la meilleure part...Tant mieux au fond, ça prouve que l'écriture n'est pas quelque chose de passif et que l'auteur s'investit dans son travail.

Depuis le temps que j'ai ce hobby de l'écriture, j'ai remarqué que tous les personnages (même ceux qu'on a le mieux défini) évoluent en permanence au fil des chapitres d'une histoire. Certaines de ces évolutions sont voulluent et découlent du processus narratif, d'autres viennent naturellement provenant de la compréhension de l'auteur de son personnage et/ou de son état d'esprit lorsqu'il a écrit le récit. Ainsi, si on observe l'oeuvre d'un auteur sur la durée où pendant de nombreuses années il a toujours utilisé le même personnage principal, on se rendra compte que ce personnage a changé entre ses débuts et ses dernières aventures (je parle bien entendu de personnages qui sont censés rester les mêmes au fil de leurs aventures).
Ainsi, je dirai que les personnages sont les mêmes mais qu'ils sont chaque fois différents. Oula, je sens que ça ne me réussit pas d'écrire un message lorsque je suis en congé!

Oiki Ran, le Ktâh qui espère que trouveras autant de plaisir à lire l'épisode 10!!

[Den Jedi SWU]

Ok... Certes, elle l'a bien mérité, mais je pense qu'il existait un moyen autre que donner une gifle à une femme pour exprimer son mécontentement... En fin de compte, je suis, a posteriori, mal à l'aise vis à vis de ce geste.

Personnellement, je suis plutôt d'accord avec Nicravin. Ca montre que même Evyk peut avoir un geste regrettable. Certes, il y avait sûrement un meilleur moyen pour lui de montrer son mécontentement, mais à mon avis, Evyk a perdu le contrôle. Il vit des événements terribles qui l'affectent beaucoup plus qu'il ne le voudrait. Enfin, c'est la vision que j'ai des choses. Il faudrait que je relise le passage pour pouvoir mieux me prononcer.

[Nicravin Ancien staffeur]

Je pense qu'on peut généraliser cela à toute oeuvre de création, que ce soit un livre, une BD, un film, une série, etc... Je dirais que le contraire est aussi valable: si le méchant gagne trop facilement, cela fait passer le héros pour un imbécile de première. De plus dans ce cas-ci, à la fin, vu que le héros doit gagner, on nous offre un retournement de situation qui est la plupart du temps assez rocambolesque.

Je me méfie du retournement de situation rocambolesque. Même si c'est parfois c'bien mené, il n'est pas rare du tout que ça finisse par un deus ex machina et ça c'est moins top.

J'ai pour devise que pour avoir un bon héros, il faut un excellent méchant. D'ailleurs, l'un ne va pas sans l'autre et meilleur l'un des personnages sera, meilleur l'autre le sera aussi. Enfin, j'essaye d'avoir des personnages (autant héros que méchant) qui réfléchissent avant de se lancer dans l'action. Ainsi, celui qui triomphe est généralement celui qui s'est montré le plus malin et non celui qui est le plus chanceux.

Je ne sais plus qui a dit que la grandeur d'un homme se reconnait à la grandeur de ses ennemis...

Personnellement, je suis plutôt d'accord avec Nicravin. Ca montre que même Evyk peut avoir un geste regrettable. Certes, il y avait sûrement un meilleur moyen pour lui de montrer son mécontentement, mais à mon avis, Evyk a perdu le contrôle. Il vit des événements terribles qui l'affectent beaucoup plus qu'il ne le voudrait. Enfin, c'est la vision que j'ai des choses. Il faudrait que je relise le passage pour pouvoir mieux me prononcer.

Il perd le contrôle, c'est tout-à-fait ça.

Ainsi, je dirai que les personnages sont les mêmes mais qu'ils sont chaque fois différents. Oula, je sens que ça ne me réussit pas d'écrire un message lorsque je suis en congé!

C'est ça...enfin je crois.