Et c'est reparti pour un nouveau numéro du
Star Wars Magazine !
Les cadeaux de ce huitième numéro ? Un lance-flèches (quelle originalité...) et les deux posters habituels de la revue : cette fois-ci, nous avons droit à une illustration du
Réveil de la Force reprenant les héros du film et de l'autre côté, un Dark Vador impérial, sabre-laser au poing, flanqué d'une escouade de stormtroopers. Inutile de dire que c'est ce dernier qui a ma préférence !
La double-page d'actualités est bien évidemment consacrée à
Rogue One, le nouveau-né de la franchise, et on retrouve ensuite les rubriques habituelles, respectivement consacrées à la bataille de Coruscant qui démarre
la Revanche des Sith, au Comte Dooku et au
Ghost, le vaisseau des héros de la série
Rebels. On retrouve ensuite une page consacrée aux chasseurs de primes les plus dangereux de la Galaxie et, alors que le numéro se termine, l'Alphabet Star Wars nous délivre la lettre H (au passage, énorme double erreur sur Hera Syndulla, qui se retrouve être la sœur de la combattante Cham Syndulla...
). Entre-temps, six pages de jeu mettront à rude épreuve la patience des plus jeunes !
La BD du numéro, intitulée
Les gangsters de Galzez et toujours signée du duo Fisher-Molesworth, fait en revanche bien pâle figure par rapport à celles des précédentes revues, où l'on pouvait retrouver Ahsoka ou les Inquisiteurs. Là, s'il est fait référence à l'épisode de la deuxième saison où Ezra vient à la rescousse de Sato et de ses hommes, c'est bien le seul intérêt que l'on peut trouver à la lecture... L'intrigue est peu crédible, comme l'est la situation dans laquelle se trouve Ezra, comme l'est la résolution. Certes, le niveau n'est jamais très élevé dans ce type de récit, mais là, c'est véritablement bas !
Du coup, c'est véritablement le comic dérivé de
Rebels qui tire la revue vers le bas, et même un lecteur peu exigeant n'y trouvera pas son compte. Espérons que le niveau remontera en février : le prochain numéro aura un lance-balles en cadeau avec des articles consacrés notamment à l'AAT et à Padmé Amidala !
Note : 70%